Sous un ciel infini, d'un bleu transparent,
J'observe en silence la beauté de l'océan
Où sont les humains enfermés entre les murs,
Où sont les discours incessants, les voitures ?
Où sont les maisons en ciment, les toitures ?

Envoûtée par la danse en couleur des poissons
Mon corps est salué par le murmure du vent.
Où sont les bureaux semblables aux prisons ?
Et les écoles, les enfants cloués sur les bancs ?

Devant la marée qui monte, je sors mon violon
Et j'accompagne la nature, c'est mon moment:
Ni spectateurs en ce lieu, ni gloire, ni argent -
Ici seule une musique ... harmonie de sons.

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